top of page

Ce qu'ils ont dit avant leur mort

Citations d athees celebres

Galates 6: 7 "Ne vous y trompez pas, on ne se moque pas de Dieu. Tout ce qu'un homme sème, il le récoltera aussi"


►  Anton Lavey, 1930 - 1997

Auteur de la Bible satanique et grand prêtre de la religion vouée au culte de Satan. Une de ses citations célèbres est "Il y a une bête chez l'homme qui doit être exercée et non exorcisée." Ses dernières paroles furent: 

"Oh, oh, qu'est-ce que j'ai fait, il y a quelque chose de très faux… il y a quelque chose de très faux…."



►  Aleister Crowley, 1875 - 1947 

Occultiste anglais, il fonda la religion de Thelema dont la dogme est "Fais ce que tu veux sera l'intégralité de la loi". Il s’identifiait comme le prophète chargé de guider l’humanité. Durant sa vie, il acquis une notoriété répandue en tant qu’expérimentateur de drogues récréatif, pratiquant de magie sexuelle sur les enfants et les animaux, bisexuel et critique social individualiste. Il fut dénoncé par la presse populaire comme "l'homme le plus méchant du monde" et un sataniste. À sa mort il a crié: 

"Je suis perplexe! Satan, sors!"

  • Voici ce qu'a raconté Kathleen Symonds la dernière propriétaire d’Aleister Crowley qui était avec lui dans ses derniers jours: "... Mme Thorne-Drury et moi avons suivi le cercueil de Hastings à Brighton. Au crématorium, nous n'avons trouvé que quelques personnes en deuil, peut-être deux ou trois. Je me souviens qu'une dame allemande a posé des roses rouges sur son cercueil. Il n'y avait pas de service. Louis Wilkinson, qui avait une belle voix, a lu son poème Pan et quelque chose d’autre que M. Crowley avait écrit. Quand nous sommes revenus à Netherwood en taxi, il y a eu un terrible orage avec des éclairs, qui a duré toute la nuit. Louis Wilkinson, qui était rentré avec nous, a déclaré: "C'est exactement ce que Crowley aurait aimé! "



►  Beethoven, Ludwig van, 1770-1827

 "Les amis applaudissent, la comédie est terminée." 

Le site web de l'éditeur de Beethoven (www.schott-music.com) affirme que sa secrétaire a écrit qu'il avait déclaré: 

"Pitié, pitié - trop tard!"



►  Caesar Borgia, 1475 - 1507

Fils du pape Alexandre VI, Duc de Valentinois, homme politique dont la lutte pour le pouvoir fut une inspiration majeure pour  Niccolò  Machiavelli. Avant sa mort il dit: 

"Pendant que je vivais, j'ai tout prévu sauf la mort; maintenant je dois mourir et je ne suis pas préparé à mourir."

Voici une déclaration de Cate le concernant: 

"Cesare Borgia était l'un des hommes les plus rusés, cruels et dépravés de cette époque corrompue. Aucun crime n'était trop infâme pour qu'il le commette ou en soit soupçonné. Il a été accusé du meurtre de son frère aîné, Giovanni, duc de Gandia, et d'Alfonso, l'époux de Lucrezia; il a comploté avec son père le meurtre du cardinal Corneto; et il a commis l'inceste avec sa sœur. Dans ses guerres, il fit massacrer des garnisons et captura des groupes de femmes dans le but d'assouvir ses désirs."—Cate.



►  Charles IX, 1550 - 1574

Roi de France. Suivant les conseils de sa mère, il ordonna le massacre des huguenots français. 

15 000 personnes furent tuées à Paris et 100 000 dans d'autres régions de la France, sans autre motif que l'amour du Christ. Après cet événement, le roi coupable a souffert misérablement pendant des années. Finalement, il mourut, suite à une tuberculose aiguë, sa toux rauque s'est ensanglantée et ses hémorragies devinrent très violentes. Au cours de ses dernières heures, il dit à ses médecins: 

"Endormi ou éveillé, je vois passer devant moi les formes mutilées des huguenots. Ils tombent sanglants. Ils pointent du doigt leurs blessures ouvertes. Oh! J'ai au moins épargné les petits enfants au sein! Quel sang! Je ne sais pas où je suis. Comment tout cela va se terminer? Que dois-je faire? Je suis perdu pour toujours! Je le sais. Oh, j'ai mal agi".  

Il criait à sa nourrice: 

"Quel sang versé! Quels meurtres! Quel mauvais conseil j'ai suivi! O mon Dieu, pardonnez-moi ... Je suis perdu! Je suis perdu! Je le vois bien"

Il criait à sa mère: 

"Qui d'autre que toi est la cause de tout ça? Le sang de Dieu, tu es la cause de tout!".

À cela sa mère Catherine répondait qu'elle avait un fou pour un fils.



►  Charles Maurice de Talleyrand-Périgord, 1754 - 1838

Homme politique et diplomate français. Après des études de théologie, il devient en 1780 agent général du clergé et représenta l'Église catholique auprès des Français. Sur son lit de mort il fit la retraction suivante: 

"Touché de plus en plus par de graves considérations, conduit à juger de sang-froid les conséquences d’une révolution qui a tout entraîné et qui dure depuis cinquante ans, je suis arrivé, au terme d’un grand âge et après une longue expérience, à blâmer les excès du siècle auquel j’ai appartenu, et à condamner franchement les graves erreurs, qui, dans cette longue suite d’années, ont troublé et affligé l’Église catholique, apostolique, romaine, et auxquelles j’ai eu le malheur de participer... Jamais je n’ai cessé de me regarder comme un enfant de l’Église. Je déplore de nouveau les actes de ma vie, qui l’ont contristée, et mes derniers voeux seront pour elle et pour son chef suprême."

Tiré Des Mémoires du prince de Talleyrand, publiés avec une préface et des notes par le duc de Broglie, de I’Académie Française, tome V, p. 482-484, in-8°, XVIII-650 p. Paris, Calmann-Lévy, 1892.



►  Clarence Darrow, 1857 - 1938

Avocat de la défense dans de nombreux procès criminels dramatiques lui a valu une place dans l'histoire juridique américaine. Il fut l'avocat du procès de Scopes dans le célèbre débat de 1925. Sur son lit de mort, il demanda à plusieurs membres du clergé: 

"D'intercéder s'il vous plaît pour moi auprès du Tout-Puissant. Dans ma vie, j'ai souvent parlé contre des chrétiens et je réalise maintenant que je peux avoir eu tort."



►  David Hume, 1711 - 1776

Historien, économiste et philosophe athée célèbre pour sa philosophie de l'empirisme et le scepticisme de la religion. 

Le récit suivant a été publié il y a de nombreuses années à Édimbourg, où il est décédé, et n'a jamais été contredit. Vers la fin de l'année 1776, quelques mois après la mort de l'historien, une femme d'apparence respectable, habillée de noir, entra dans la diligence Haddington alors qu'elle traversait Édimbourg. La conversation entre les passagers, qui avait été interrompue pendant quelques minutes, reprit rapidement, et la dame s'aperçut bientôt qu'elle portait sur l'état d'esprit des personnes à la perspective de la mort.

On invoqua, pour défendre la mécréance, la mort de Hume comme étant non seulement heureuse et tranquille, mais même mêlée de gaieté et d'humour. A cela, la dame répondit: 

"Monsieur, vous n'en savez rien; je pourrais vous raconter une autre histoire".

Le gentleman répondit: 

"Madame, je présume que j'ai d'aussi bonnes informations que vous sur ce sujet, et je crois que ce que j'ai affirmé au sujet de M. Hume n'a jamais été remis en question." 

La dame poursuivit: 

"Monsieur, j'ai été la gouvernante de M. Hume pendant de nombreuses années, j'étais avec lui à ses derniers moments; et le deuil que je porte maintenant est un cadeau de ses parents pour les soins que je lui ai apportés sur son lit de mort; et j'aurais été heureuse si j'avais pu rendre mon témoignage à l'opinion erronée qui s'est répandue dans le monde sur sa fin paisible et tranquille. Je n'ai, monsieur, jamais jusqu'à cette heure ouvert la bouche sur ce sujet, mais je pense qu'il est dommage que le monde soit tenu dans l'ignorance d'un sujet aussi intéressant. Il est vrai, monsieur, que lorsque les amis de M. Hume étaient avec lui, il était joyeux et ne semblait pas se préoccuper de son proche sort; il leur en parlait même souvent d'une manière plaisante et amusante; mais lorsqu'il était seul, la scène était très différente; il était tout sauf calme, son agitation mentale était si grande par moments qu'elle faisait trembler tout son lit. Il ne voulait pas qu'on éteigne les bougies pendant la nuit, ni qu'on le laisse seul une minute, car il fallait toujours que je sonne pour qu'un des domestiques soit dans la chambre avant qu'il me permette de la quitter. Il s'efforçait de paraître calme, même devant moi. Mais pour quelqu'un qui était à son chevet pendant tant de jours et de nuits, qui était témoin de son sommeil agité et de ses réveils encore plus perturbés, qui entendait fréquemment ses soupirs involontaires de remords et ses effrayants sursauts, il n'était pas difficile de déterminer que tout n'allait pas bien à l'intérieur. Cela continua et augmenta jusqu'à ce qu'il en devienne insensible... Il s'est écrié sur son lit de mort: "Je suis en flammes!" 

Il est dit que son désespoir était une scène horrible.



►  Edward Gibbon, 1737 - 1794

Historien et érudit rationaliste anglais, auteur du livre "Déclin et chute de l'empire romain". Le premier volume de son livre, publié le 17 février 1776, a immédiatement connu un succès retentissant, bien qu’un peu scandaleux à cause des deux derniers chapitres dans lesquels il traitait, avec une grande ironie, la montée du christianisme. À sa mort il dit: 

"Tout est perdu, irrécupérablement perdu. Tout est sombre et douteux!"

 - Elijah C. Clark, The victory practical handbook for ministers (Church of God, Cleveland TN 1944)



►  Genrikh Yagoda, 1891 - 1938

Officier de police secret qui a servi de directeur du NKVD, l'agence de renseignement et de sécurité de l'Union soviétique, qui fut tué par Staline, a déclaré: 

"Il doit y avoir un Dieu, car mes péchés me sont parvenus."



►  George Gordon Byron (Lord Byron), 1788 - 1824

Célèbre poète anglais et homme politique devenu révolutionnaire lors de la guerre d'indépendance de la Grèce. Byron était bien connu pour ses scandales, ses liaisons sexuelles et ses enfants illégitimes, sa beauté et sa débauche. Par ailleurs, le baron vivait intensément, consommant de l'alcool avec une intempérance légendaire. Après des années d'hédonisme, Byron était confronté aux réalités de la souffrance. Il a ecrit ce poème avant sa mort:

"Il est temps que ce coeur reste immobile, puisque d'autres ont cessé de le faire: pourtant, si je ne peux être aimé, laissez-moi quand même aimer! Mes jours sont dans la feuille jaune; Les fleurs et les fruits de l'amour sont partis; le ver, le chancre, et le chagrin sont à moi seul!".

S'agissait-il d'une méditation générale sur la mort ?



►  Grigory Yevseyevich Zinoviev, 1883 - 1936

Président de l'Internationale communiste soviétique et révolutionnaire bolchevique qui mourut aux mains de Staline. Ses derniers mots ont été: 

"Écoutez, Israël, notre Dieu est le seul Dieu."



►  Guy de Maupassant, 1850 - 1893

Célèbre écrivain français, dont on disait: "les critiques le louait, les hommes l'admiraient, les femmes l'adoraient." Il souffrait d'une syphilis avancée et, le 2 janvier 1892, alors qu'il se trouvait près de sa mère, il a tenté de se suicider en se tranchant la gorge. Les médecins furent appelés, et sa mère accepta à contrecœur qu'il soit interné. Deux jours plus tard, il fut emmené, selon certains récits en carcan, à la maison de santé du docteur Blanche, à Paris, où il mourut un mois avant son 43e anniversaire. Il a écrit son propre épitaphe: 

"Ah ! j'ai tout convoité sans jouir de rien."



►  James Dean, 1931 - 1955

Acteur d'Hollywood, on se souvient de lui comme d’une icône culturelle de la désillusion adolescente et de l’éloignement social. À la fin de sa vie il dit: 

"Mes jours de plaisir sont finis."



►  Julien l'Apostat, 330 AD - 363 AD

Empereur romain de 361 à 363, philosophe et auteur Grec. Son rejet du christianisme et sa promotion de l'hellénisme néo-platonicien lui ont valu le nom de Julien l'Apostat par l'Église chrétienne. Il détestait les chrétiens, et dirigeait ses forces dans la bataille contre la Perse en 363 après JC. Il fut mortellement blessé et pendant qu'il était mourant et étendu sur le champ de bataille une partie de son sang mêlé à la saleté, il regarda vers le ciel et dit en référence à Jésus-Christ: 

"Tu as vaincu, Galiléen." 



►   Joseph Smith, 1805-1844

Chef religieux américain et fondateur du mormonisme et du mouvement des saints des derniers jours, aurait fait plusieurs signes de la main maçonnique alors qu'il gisait mourant, sur le sol d'une prison de l'Illinois pour plusieurs accusations criminelles. Allongé sanglant et désespéré, la voix rauque de Smith pouvait être entendue crier le gémissement maçonnique plaintif, appelant tous les francs-maçons à aider un frère en grande difficulté: 

"N'y a-t-il aucune aide pour le fils de la veuve?" 

- Texe Marrs, Codex Magica (44)



►  Joseph Staline, 1878 - 1953 

Homme politique révolutionnaire à la tête du Soviet. Voici ce que des témoins oculaires ont dit à propos de ses derniers jours :  


À huit heures et demie du soir, selon le registre, ils se sont tous réunis à nouveau dans le bureau de Staline et ont continué à se partager le pouvoir. Le matin, ils sont retournés à la datcha. Et ça a continué tous les jours. Mais ils souhaitaient que l'homme mort, impuissant, respire encore.

Professeur Myasnikov :

"Malenkov nous a fait savoir qu'il espérait que les médecins pourraient prolonger la vie du patient suffisamment longtemps. Nous avons tous compris qu'un certain temps était nécessaire pour mettre en place le nouveau gouvernement et préparer l'opinion publique."

Parfois, Staline gémissait. À un moment donné, pendant de brefs instants seulement, son regard conscient semblait faire le tour des visages près du lit. Puis Vorochilov a dit : 

"Camarade Staline, nous, tous tes vrais amis et collègues, sommes ici. Comment te sens-tu, cher ami?" 

Mais ses yeux étaient déjà vides de toute expression. Nous passâmes toute la journée du 5 mars à injecter des choses, et à écrire des communiqués de presse. Les membres du Politburo s'approchèrent de l'homme mourant. Les rangs inférieurs se contentaient de regarder à travers la porte. Je me souviens que Khrouchtchev était aussi près des portes. En tout cas, la hiérarchie était bien respectée : Malenkov et Beria venaient en premier. Puis Voroshilov, Kaganovich, Bulganin et Mikoyan. Molotov ne se sentait pas bien, mais il est venu deux ou trois fois, pour une courte période...


Dans une interview dans Newsweek accordée à Svetlana Staline, fille de Joseph Staline, elle a raconté la mort de son père: 

"Père mourait horriblement et durement... Dieu n'accorde une mort facile qu'aux justes... Son visage s'assombrissait et changeait... ses traits devenaient méconnaissables... L'agonie était terrible. Nous pouvions voir comment il s'étouffait... Au dernier moment, il a soudainement ouvert les yeux. C'était un regard horrible - soit fou, soit en colère et plein d'horreur, et il montrait quelque chose en l'air, ou bien il nous faisait un signe du doigt... Le moment suivant, son âme, ayant fait son dernier effort, s'est détachée de son corps."

Il est mort à 21 h 50



► Leornado Da Vinci, 1452 - 1519

Scientifique et inventeur italien, polymathe de la Renaissance dont les domaines d'intérêt comprenaient l'invention, la peinture, la sculpture, l'architecture et les mathématiques, pour n'en citer que quelques-uns. Avant sa mort, il a déclaré:  

“J'ai offensé Dieu et l'humanité parce que mon travail n'a pas atteint la qualité qu'il aurait dû avoir.” 

Il est mort d'une attaque cérébrale en 1519.



►  Mahatma Gandhi, 1869 - 1948

Avocat indien, nationaliste anti-colonial et éthicien politique. Il eu recours à une résistance non-violente pour mener avec succès la campagne pour l'indépendance de l'Inde par rapport à la domination britannique et inspira à son tour des mouvements pour les droits civiques et la liberté dans le monde. Quinze ans avant sa mort, il a écrit: "Je suis incapable de m'identifier au christianisme orthodoxe. Je dois vous dire en toute humilité que l'hindouisme, tel que je le connais, satisfait entièrement mon âme, remplit tout mon être, et je trouve dans la Bhagavad Gita et les Upanishads une consolation qui me manque même dans le Sermon sur la Montagne." Avant sa mort, Gandhi écrit: 

"Mes jours sont comptés. Je ne vivrai probablement pas très longtemps, peut-être un an ou un peu plus. Pour la première fois en cinquante ans, je me retrouve dans le désespoir. Tout autour de moi est ténèbres; je prie pour la lumière."



►  Mao Tse Tung, 1893 - 1976

Révolutionnaire communiste chinois qui est devenu le père fondateur de la République populaire de Chine. Il était un athée féroce; mais en 1936, lorsqu'il tomba très malade en tant que membre du Comité central du Parti communiste, il demanda à être baptisé et reçut le baptême de la main d'une religieuse. Lorsque sa femme fut blessée par les troupes de Tchang Kaï-chek, il composa un poème religieux "Les Immortels".  Et dans une interview avec le journaliste américain Snow, en 1971, il a déclaré: 

"Bientôt, je devrai comparaître devant Dieu."



►  Mazarin, 1602 - 1661

Cardinal français et conseiller des rois. En tant que dirigeant (de facto) de la France, il a joué un rôle crucial dans l’établissement des principes de Westphalie qui guident la politique étrangère des États européens et l’ordre mondial dominant. Certains de ces principes, tels que la souveraineté de l'État-nation sur son territoire et ses affaires intérieures et l'égalité juridique entre les États, demeurent la base du droit international. Il dit à sa mort: 

"O ma pauvre âme! qu'adviendra-t-il de toi? Où iras-tu?"

A la reine doyenne de France, qui vint le visiter dans sa maladie, et qui avait été son amie à la cour, il s'exprima en ces termes: 

"Madame, vos faveurs m'ont perdu. Si je devais revivre, je serais plutôt un capucin qu'un courtisan."



►  Michael Jackson, 1958 - 2009

La superstar de la pop a désespérément demandé l’aide du propofol, une drogue sur laquelle il a fait une overdose fatale. Alors qu'il dérivait dans l'éternité, Il a dit: 

"J'aimerais avoir du lait. Parce que je suis conscient que c'est la seule chose qui m'aide vraiment à m'endormir, je vous prie de bien vouloir me donner du lait pour que je puisse me reposer."



►  Napoléon Bonaparte, 1769 - 1821

Empereur français, et qui, comme Adolf Hitler, a apporté la mort à des millions de personnes pour satisfaire ses ambitions cupides, sa soif de pouvoir et son égoïsme pour une conquête mondiale, dit sur son lit de mort: 

"Je meurs avant mon temps et mon corps sera rendu à la terre tel est le destin de celui qui a été appelé le grand Napoléon. Quel abîme entre ma profonde misère et le royaume éternel du Christ!"



►  Robert Ingersoll, 1833 - 1899

Orateur et écrivain américain au cours de l'âge d'or de la liberté de pensée. Il fut surnommé "le grand agnostique" à cause de sa campagne pour la défense de l'agnosticisme. À sa mort il dit: 

"La vie est la valeur froide et stérile entre deux pics éternels. Je m'efforce en vain de voir au-delà de la hauteur lointaine. Je crie et la seule réponse que j'entends, c'est l'écho de mon gémissement vide. O Dieu, s'il y a un Dieu, sauve mon âme, si j'ai une âme!" 

(Certains disent que c'était plutôt: "Oh mon Dieu, s'il y a un Dieu, sauve mon âme si j'ai une âme, de l'enfer, s'il y a un enfer!")



►  Septimius Severus, 145 - 211 BC

Empereur romain qui a causé la mort et la persécution de milliers de chrétiens qui refusaient d'adorer l'empereur et les dieux. À sa mort il dit: 

"J'ai été tout, et tout n'est rien. Une petite urne contiendra tout ce qui reste de celui pour qui le monde entier était trop petit."



►  Sir Francis Newport, 1620 - 1708

Soldat anglais, courtisan et homme politique. Il devint responsable d’un club athée anglais et une vie de dissipation entraîna une maladie incurable. Il prononça les paroles suivantes à ceux qui étaient rassemblés autour de son lit de mort: 

"D’où vient cette guerre dans mon cœur? l’argumentation existe-t-il maintenant pour m’aider contre des faits? Comment affirmer qu'il n'y a aucun enfer, alors que je le sens dans mon propre sein? Suis-je certain qu'il n'y a pas de rétribution après, quand actuellement je ressens le jugement ? Comment affirmer que mon âme est aussi mortelle que mon corps, quand cela languit, qu'il est aussi vigoureux qu'avant? O que n'importe qui restaure en moi cette ancienne gourde de piété et d'innocence! Misérable que je suis, où vais-je fuir de cette poitrine? Qu'est-ce que je vais devenir?" 

Un de ses amis essaya de dissiper ses pensées, à qui il a répondu. 

"Vous n’avez pas besoin de me dire qu’il n’y a pas de Dieu car je sais qu’il en existe un et je ressens continuellement les effets de sa colère; qu'il y a un enfer Je suis tout aussi certain d’avoir déjà reçu le fardeau de mon héritage en ma poitrine; qu'il y a une conscience naturelle que je ressens maintenant avec horreur et étonnement, étant continuellement réprimandé par elle avec mes impiétés, toutes mes iniquités et tous mes péchés portés à mon souvenir. Pourquoi Dieu m'a marqué pour un exemple de sa vengeance, plutôt que vous, ou l'une de mes connaissance, j’imagine que c’est parce que j’ai été plus éduqué dans la religion et j'ai montré un grand mépris malgré l'Esprit de grâce. O que j'aimerais m'allonger pendant mille ans sur le feu qui ne s'éteint jamais pour acheter la faveur de Dieux et être réunis à nouveau! Mais c'est un souhait infructueux. Des millions et de millions d'années ne m'emmèneront pas plus près de la fin de mes tourments qu'une seule petite heure. O, éternité, éternité! Qui peut découvrir l'abîme de l'éternité? Qui peut paraphraser ces mots - pour toujours et à jamais?" 

De peur que ses amis ne le trouvent fou, il dit: 

"Vous m'imaginez mélancolique, ou distrait. Je voudrais l'être mais cela fait partie de mon jugement que je ne le suis pas. Non; mon appréhension des personnes et des choses est plus rapide et plus vigoureuse qu'elle ne l'était quand j'était en parfaite santé; et c'est ma malédiction, parce que je suis de ce fait plus sensible à l'état dans lequel je suis tombé. Seriez-vous informé pourquoi je suis devenu un squelette dans trois ou quatre jours? Voir maintenant, alors. J'ai méprisé mon créateur et refusé mon rédempteur. Je me suis rallié à l'athée et au profane, et j'ai poursuivi cette voie sous de nombreuses convictions, jusqu'à ce que mon iniquité soit mûre pour la vengeance, et le juste le jugement de Dieu m'a rattrapé quand je me croyait en grande sécurité, et les contrôles de ma conscience étaient amoindris." 

Alors que sa détresse mentale et ses maladies corporelles le précipitaient dans l’éternité, on lui demanda si une prière pouvait être faite en sa faveur; il tourna son visage, et s'écria: 

"Tigres et monstres! êtes-vous aussi devenus des diables pour me tourmenter? Me donnez-vous la perspective du ciel pour rendre mon enfer plus intolérable?" 

Peu de temps après, sa voix s’éteignit et, poussant un gémissement d’horreur inexprimable, il cria: 

"Oh, les douleurs insupportables de l'enfer!" 

Et il mourut.



►  Sir Julian Huxley, 1887 - 1975

Biologiste, philosophe, éducateur et auteur anglais qui a grandement influencé le développement moderne de l'embryologie, de la systématique et des études de comportement et d'évolution. Athée convaincu, il dit sur son lit de mort: 

"Donc, c'est vrai après tout, donc c'est vrai après tout."



►  Sir Thomas Scott, 1535 - 1594

Chancelier d’Angleterre. À sa mort il dit: 

"Jusque-là, j’imaginais qu’il n’y avait ni Dieu ni enfer. Maintenant, je sais et je sens que les deux existent et je suis condamné à la perdition par le juste jugement du Tout-Puissant."



►  Steve Jobs, 1955 - 2011

Président du conseil, chef de la direction et co-fondateur de Apple Inc. a dit ceci environ 3 heures avant sa mort telle que rapportée par sa soeur Mona Simpson: 

"Oh Wow, Oh Wow, Oh Wow"

Ressentait-il une douleur? As-t'il réfléchit sur sa vie? As-t-il vu une vision? On ne saura jamais.



►  Thomas Carlyle, 1795 - 1881

Une fois chrétien, Carlyle a perdu sa foi alors qu'il fréquentait l'université d'Edimbourg, adoptant plus tard une forme de déisme. Il finit ses jours en disant: 

"Je suis comme un homme sans espoir et sans crainte; un vieil homme triste regardant dans le gouffre final."



►  Thomas Hobbs, 1588 - 1679

Philosophe anglais, considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie politique moderne. À sa mort il dit: 

"Je le répète, si j'avais le monde entier à ma disposition, je le donnerais pour vivre un jour. Je suis sur le point de faire un saut dans le noir." 

- Elijah C. Clark, The victory practical handbook for ministers (Church of God, Cleveland TN 1944)



►  Thomas Paine, 1737 - 1809

Activiste politique, philosophe, et révolutionnaire américain d'origine anglaise. Il était le principal écrivain athée du livre célèbre intitulé "L’âge de la raison" dans lequel il a ridiculisé la religion chrétienne. Il a lentement perdu ses amis et Il quitta l'Amérique pour L'Angleterre où il mourut prématurément. Selon L'évêque catholique romain Fenwick, voici les événements qui ont précédé sa mort.

Peu de temps avant la mort de Paine, il m'envoya chercher. Il y avait été incité par une pauvre femme catholique qui était allée le voir dans sa maladie et qui lui avait dit que si quelqu'un pouvait lui faire du bien, c'était un prêtre catholique. J'étais accompagné de F. Kohlmann, un ami intime. Nous l'avons trouvé dans une maison de Greenwich (aujourd'hui Greenwich street, New York), où il logeait. Une femme âgée, à l'allure décente, se présenta à la porte et demanda si nous étions les prêtres catholiques, car, dit-elle: 

"M. Paine a été tellement ennuyé ces derniers temps par les visites d'autres confessions qu'il a donné la consigne formelle de n'admettre personne d'autre que les membres du clergé de l'Église catholique". 

Après lui avoir dit qui nous étions, elle a ouvert la porte et nous a fait entrer dans le salon... La dame dit: 

"Messieurs, je souhaite vraiment que vous y parveniez avec M. Paine, car il souffre d'une grande détresse mentale depuis que son médecin lui a dit qu'il ne pouvait pas vivre et qu'il devait mourir sous peu. Il est vraiment à plaindre. Ses cris, lorsqu'il est laissé seul, sont déchirants. "Il s'exclame pendant ses paroxysmes de détresse: "Seigneur, aide-moi! Jésus-Christ, aide-moi!" -- répétant ces expressions sur un ton de voix qui inquiète toute la maison. Parfois, il dit: "O Dieu! qu'ai-je fait pour souffrir autant?". Puis, peu après, "Mais il n'y a pas de Dieu"; et encore: "Pourtant, s'il y en avait un, que deviendrais-je dans l'au-delà?" Il continue ainsi pendant un certain temps, puis, soudain, il hurle comme s'il était terrorisé et agonisant, et m'appelle par mon nom. Un jour, je lui ai demandé ce qu'il voulait. "Restez avec moi", m'a-t-il répondu, "pour l'amour de Dieu! car je ne supporte pas d'être laissé seul". Je lui ai dit que je ne pouvais pas toujours être dans la pièce. "Alors," dit-il, "envoie même un enfant pour rester avec moi, car c'est un enfer d'être seul." Je n'ai jamais vu, continua-t-elle, un homme plus malheureux, plus abandonné. Il semble qu'il ne puisse se réconcilier avec la mort."

Telle fut la teneur des propos de cette femme, qui était protestante, et qui semblait très désireuse que nous lui apportions quelque soulagement dans un état proche du désespoir total. Après être restés quelque temps dans le salon, nous avons finalement entendu du bruit dans la pièce voisine. Nous avons proposé d'entrer, ce à quoi la femme a consenti en nous ouvrant la porte. Je n'ai jamais vu d'être plus misérable en apparence. Il était couché dans un lit suffisamment décent en soi, mais à présent souillé de crasse; son regard était celui d'un homme fortement torturé dans son esprit, ses yeux hagards, son visage rébarbatif, et toute son apparence celle de quelqu'un dont les meilleurs jours n'ont été qu'une scène continue de débauche. Sa seule nourriture était le punch au lait, auquel il s'adonnait dans toute la mesure de son état de faiblesse...

 

- Elijah C. Clark, The victory practical handbook for ministers (Church of God, Cleveland TN 1944)



►  Victor Hugo, 1802 - 1885

Il était un écrivain romantique et un homme politique français qui est considéré comme l'un des plus grands écrivains français de tous les temps. Bien qu'élevé par sa mère comme un catholique romain strict, Hugo devint plus tard extrêmement opposé au clergé et rejeta farouchement tout lien avec l'église. À la mort de ses fils Charles et François-Victor, il a insisté pour qu'ils soient enterrés sans croix ni prêtre, et dans son testament, il a fait la même stipulation pour sa propre mort et ses funérailles. Peu de temps avant sa mort, Victor Hugo a eu une attaque et quatre jours plus tard, sur son lit de mort, alors qu'il était atteint d'une pneumonie, Hugo a déclaré:

"Voici donc le combat entre le jour et la nuit." 

En mourant, il a chuchoté:

"Je vois une lueur noire." 

 


►  Vladimir Lénine, 1870 - 1924

Révolutionnaire russe, homme politique, il a été chef du gouvernement de la Russie soviétique et de l'Union soviétique de 1922 à 1924. Lorsque la révolution russe était en danger, et que Pétersbourg était encerclée par les troupes du général anticommuniste Kornilov, Lénine prononça un discours dans lequel il s'exclama à plusieurs reprises: 

"Dai Boje" = "Que Dieu accorde que nous fuyions."  

Lénine n'a jamais utilisé cette expression sauf en ce moment de crise profonde.



►  Voltaire, 1694 - 1778

Écrivain, historien et philosophe athée français célèbre pour son esprit, sa critique du christianisme, en particulier de l'Église catholique romaine, ainsi que pour sa défense de la liberté d'expression, de la liberté de religion et de la séparation de l'Église et de l'État. Le talentueux écrivain français s'est vanté: "Dans vingt ans, le christianisme ne sera plus. Ma seule main détruira l’édifice qu’il a fallu douze apôtres pour élever". Il a un jour déclaré à propos de Jésus: "Maudit le malheureux! "

Voici ses citations les plus célèbres: 

  • "Tout homme sensé, tout homme honorable, doit tenir la secte chrétienne dans l'horreur ... Le christianisme est la religion la plus ridicule et sanglante qui ait jamais infecté le monde.”   

  • "La Bible. C'est ce que les imbéciles ont écrit, ce que les imbéciles recommandent, ce que les voleurs enseignent et les jeunes enfants sont amenés à apprendre par cœur. 

À sa mort il dit: 

"Je suis abandonné par Dieu et par l'homme.  je vous donnerai la moitié de ce que je vaux si vous me donnez six mois de vie." 

(Il a dit cela au docteur Fochin, qui lui a dit que cela ne pouvait pas être fait.) 

"Alors je vais aller en enfer. Oh, Christ, oh, Jésus-Christ!" 

Son infirmière déclara: "Malgré tout l'argent en Europe, je ne voudrais pas voir un autre incroyant mourir! Toute la nuit, il a réclamé pardon."  Quelques années plus tard, sa maison de Genève fut utilisée par la Société biblique de Genève pour imprimer des Bibles. 

- Elijah C. Clark, The victory practical handbook for ministers (Church of God, Cleveland TN 1944)



►  Yemelyan Yaroslavsky, 1878 - 1943

Révolutionnaire bolchevique russe, membre du Parti communiste, journaliste, historien et président de la Ligue des Sans-Dieu aux États-Unis, demanda à Staline depuis son lit de mort: 

"Brûlez tous mes livres! Regardez, il est là! Il m'a attendu. Brûlez tous mes livres!"


Que le Saint-Esprit vous guide dans la compréhension de ce message. 


bottom of page