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Mort de Jésus et abandon sur la croix

 

Crucifixion de Jésus

 

La mort de YESHUA sur la croix est un événement réel enregistré dans les annales de cette époque, et plus tard authentifié à travers de nombreux testaments.

 

► Après son arrestation au milieu de la nuit, YESHUA fut amené devant Caïphe, le souverain sacrificateur. 

► Un des soldats n'ayant pas aimé la réponse qu'Il donna à Caïphe, lui infligea soit une giffle soit un coup de bâton.

  • Jean 18:22 "À ces mots, un des gardes qui se trouvait là donna une gifle à Jésus en disant: C’est ainsi que tu réponds au grand-prêtre?" |Segond 21 (2007)|

  • Jean 18:22 "A ces mots, un des hommes de service qui se tenait à côté de Jésus, lui donna un coup de bâton en lui disant: Est-ce de la sorte que tu réponds au grand-prêtre." |Nouveau Testament Stapfer (1889)|

 

►Lorsque YESHUA affirma être le Fils de Dieu, les principaux sacrificateurs, lui voilèrent les yeux, lui crachèrent au visage, et, lui donnèrent des coups de poing et des gifles en lui demandant d'identifier qui le frappait.

  • Matthieu 26:67-68 "Là-dessus, ils lui crachèrent au visage et le frappèrent à coups de poing; certains lui donnaient des gifles en disant: Christ, prophétise-nous qui t’a frappé!"

  • Marc 14:65 "Alors quelques-uns commencèrent à lui cracher au visage; et lui ayant couvert la face, ils lui donnaient des coups de poing, en lui disant : Prophétise, et dis qui t’a frappé. Et les valets lui donnaient des soufflets."

 

►Au petit matin, battu, meurtri, déshydraté et épuisé par une nuit blanche, YESHUA fut conduit au prétoire de la forteresse Antonia, le siège gouvernemental de Ponce Pilate procureur de Judée. Pilate le questionna sur sa divinité mais ne trouva rien de mal en Lui. Alors, Pilate passa la responsabilité à Hérode Antipas, le tétrarque de Judée.

  • Luc 23:1-7 "Puis ils se levèrent tous et le menèrent à Pilate. Et ils se mirent à l’accuser, disant: nous avons trouvé cet homme sollicitant la nation à la révolte, et défendant de donner le tribut à César, et se disant être le Christ, le Roi. Et Pilate l’interrogea, disant: Es-tu le Roi des Juifs ? Et [Jésus] répondant, lui dit: tu le dis. Alors Pilate dit aux principaux Sacrificateurs et à la troupe du peuple: je ne trouve aucun crime en cet homme. Mais ils insistaient encore davantage, disant: il émeut le peuple, enseignant par toute la Judée, et ayant commencé depuis la Galilée jusques ici. Or quand Pilate entendit parler de la Galilée, il demanda si cet homme était Galiléen. Et ayant appris qu’il était de la juridiction d’Hérode, il le renvoya à Hérode, qui en ces jours-là était aussi à Jérusalem.

► Hérode heureux de voir YESHUA et s'attendant qu'Il fasse des miracles, lui posa beaucoup de questions, mais YESHUA resta silencieux. Hérode le méprisa et lui fit porter un vêtement blanc ou éclatant en guise de moquerie. N'ayant rien trouvé de coupable en YESHUA, il le renvoya à Pilate.

  • Luc 23:8-11 "Hérode, voyant Jésus, en eut une grande joie ; car il désirait depuis longtemps le voir, parce qu’il avait entendu dire beaucoup de choses de lui, et il espérait lui voir faire quelque miracle. Il lui adressait donc de nombreuses questions ; mais Jésus ne lui répondit rien. Cependant les princes des prêtres et les scribes étaient là, l’accusant sans relâche. Or Hérode, avec ses gardes, le méprisa, et il se moqua de lui en le revêtant d’une robe blanche; puis il le renvoya à Pilate."

► De retour chez Pilate, les principaux sacrificateurs et les scribes incitèrent le peuple à la révolte. Pour calmer la foule, Pilate ordonna qu’on relâche Barabbas, qu’on flagelle YESHUA et qu’Il soit livré à la crucifixion. Les soldats le déshabillèrent et le firent porter un manteau rouge. Ils tressèrent une couronne d'épine, la posèrent sur sa tête et l'enfoncèrent dans son cuir chevelu en frappant sa tête avec un roseau tout en lui crachant dessus. Ils placèrent le roseau dans sa main droite tel un sceptre royal et se prosternèrent devant lui pour l’humilier. Puis ils l'emmenèrent pour le flageller et ensuite le crucifier. 

  • Marc 15:16-20 "Les soldats conduisirent Jésus dans l’intérieur de la cour, c’est-à-dire, dans le prétoire, et ils assemblèrent toute la cohorte. Ils le revêtirent de pourpre, et posèrent sur sa tête une couronne d’épines, qu’ils avaient tressée. Puis ils se mirent à le saluer: Salut, roi des Juifs ! Et ils lui frappaient la tête avec un roseau, crachaient sur lui, et, fléchissant les genoux, ils se prosternaient devant lui. Après s’être ainsi moqués de lui, ils lui ôtèrent la pourpre, lui remirent ses vêtements, et l’emmenèrent pour le crucifier.

  • Matthieu 27:28-30 "Ils lui enlevèrent ses vêtements et lui mirent un manteau écarlate. Ils tressèrent une couronne d’épines qu’ils posèrent sur sa tête, et ils lui mirent un roseau dans la main droite; puis, s’agenouillant devant lui, ils se moquaient de lui en disant: «Salut, roi des Juifs!» Ils crachaient sur lui, prenaient le roseau et le frappaient sur la tête. Après s’être ainsi moqués de lui, ils lui enlevèrent le manteau, lui remirent ses vêtements et l’emmenèrent pour le crucifier.

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En effet, selon des preuves archéologiques, les Romains, ayant découvert la crucifixion chez les Carthaginois, en ont longtemps fait une peine capitale, jusqu'à ce que l'empereur Constantin l'interdise au 4e siècle. Réservée à l'origine aux esclaves, la crucifixion était la mort la plus déshonorante que l'on puisse imaginer. Dans la tradition pénale de la Rome antique, la crucifixion était aussi un moyen d'exposer le statut social inférieur du condamné. L'objectif de la crucifixion romaine n'était pas seulement la mort, mais aussi un moyen macabre d'exécuter publiquement les criminels afin de dissuader les masses d'enfreindre la loi.

 

La crucifixion incluait de nombreuses formes d’exécutions douloureuses, allant de la pendaison sur un arbre à l’empalement des parties intimes sur un pieu. Le condamné était habituellement nu.

Les bourreaux commençaient la torture par la flagellation, en fouettant violemment la victime avec un fouet à lanière en cuir. Des boules de fer étaient attachées à quelques pouces de l’extrémité de chaque lanière, parfois des os de moutons tranchants étaient attachés près des extrémités. À chaque coup de fouet, les lanières de cuir coupaient plus profondément dans les tissus sous-cutanés produisant d’abord un suintement de sang des capillaires et des veines de la peau, puis finalement des saignements artériels à partir des vaisseaux dans les muscles sous-jacents. Les boules de fer et les os de moutons déchiraient la chair et les muscles. Toute la zone dorsale devenait alors une masse méconnaissable de tissu déchiré provoquant une perte de sang considérable. Ceci faisait tomber le condamné dans un état de choc, d'étourdissement ou d'évanouissement.

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Après la flagellation, un lourd patibulum (la partie horizontale de la croix) était attaché au dos déchiqueté et sanglant du condamné. Au milieu des moqueries des citoyens, le condamné devait porter le patibulum jusqu'à la zone de crucifixion en dehors des murs de la ville. La partie verticale de la croix (le stipe) y était déjà plantée.

 

En dépit des efforts de YESHUA pour se tenir droit, le poids du patibulum sur sa peau lacérée, ainsi que le choc produit par la perte de sang considerable ont certainement dû pousser ses muscles humains au-delà de leur endurance. Il trébucha et tomba. Simon de Cyrène, l'aida à porter le patibulum jusqu'au Mont de Golgotha.

 

Ensuite on crucifiait le condamné en enfonçant un clou entre les deux os sous le poignet. Le clou était stratégiquement placé à cet endroit pour ne pas toucher les vaisseaux sanguins majeurs mais plutôt le nerf médian, ce qui faisait crisper les mains dans une contracture atroce et elles ne pouvaient pas se détendre. Dans cette contracture, chaque fois que le condamné bougeait un peu ou prenait des bouffées d'air pour respirer, ses mains se pliaient brusquement vers les poignets, causant une fulgurante douleur névralgique dans les bras. Une dislocation de l'épaule ou du coude pouvait survenir lorsqu'on tirait sur l'autre bras pour y enfoncer le deuxième clou.

 

On clouait les pieds en enfonçant un clou entre la deuxième et la troisième métatarse afin que le poids corporel puisse être soutenu par les os massifs des pieds causant une extrême douleur foudroyante dans les jambes. Lorsque le poids du corps entier n'était supporté que par les bras tendus, le condamné avait de graves difficultés à inhaler, en raison de l’hyper-expansion des poumons. 

 

Dans certains cas on placait une attache ou un bloc de bois pour soutenir les pieds du condamné et lui permettre d'inhaler facilement. Mais dans tous les cas, il devait travailler dur pour expirer l'air de ses poumons, car pour le faire il devait tirer ou pousser son corps vers le haut. En faisant cela, son dos pressait contre la partie rugueuse du stipe et cela rouvrait les blessures dorsales.

 

La mort par crucifixion activait un processus d’asphyxie graduelle, dans lequel les deux ensembles de muscles utilisés pour la respiration: les muscles intercostaux [poitrine] et le diaphragme, s'affaiblissaient progressivement. La mort pouvait survenir au bout de plusieurs heures voir même 2 ou 3 jours. Souvent, dans le but d'écourter les souffrances du condamné, on lui cassait les jambes à coups de barre de fer pour qu'il s’étouffe et meurt rapidement. Si la mort ne venait pas de l’asphyxie, elle pouvait résulter du choc physique causé par la flagellation qui a précédé la crucifixion, du clouage lui-même, de la déshydratation ou de l’épuisement.

 

Sur la croix, YESHUA aurait éprouvé plusieurs heures de douleurs sans limites, des cycles de torsion, des crampes articulaires déchirantes, une asphyxie partielle intermittente, une douleur brûlante sur son dos lacéré se frottant de haut en bas contre le bois rugueux, et une terrible douleur profonde dans la poitrine au moment où sa péricarde se remplissait lentement de sérum et  comprimait son cœur. Et Il a endura tout ça sans dire un mot.

  • 1 Pierre 2:23 "lui qui, injurié, ne rendait point d'injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s'en remettait à celui qui juge justement."

  • Psaumes 22:14-15 "Je suis comme de l'eau qui s'écoule, Et tous mes os se séparent; Mon coeur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles. Ma force se dessèche comme l'argile, Et ma langue s'attache à mon palais; Tu me réduis à la poussière de la mort."

 

  • Revelation 3:14 " To the angel of the church in Laodicea write: These are the words of the Amen, the faithful and TRUE Witness, the Originator of God’s creation."

According to Strong's Hebrew dictionary the word "Amen" (H3050) is derived from the Hebrew word āmān which reflects truthfulness, certainty, or the authenticity of a statement, blessing or doxology. It is sometimes theorized, that this Hebrew word has its origin in the Egyptian god Amon-Ra. However, no scholar has found a true connection between the two

 

It is undeniable that in spite of his power, Jesus wrapped himself in humility by offering his life as a sacrifice to atone for all our rebellion and allow us to contemplate the glory of the Father without fear. 

  • Philippians 2:6-7 "who, although He existed in the form of God, did not regard equality with God a thing to be grasped, but emptied Himself, taking the form of a bond-servant, and being made in the likeness of men. "

 

The Bible teaches that just as YAHWEH exists by himself, Jesus was also empowered to exists by himself.

  • John 5:26 "For as the Father has life in Himself, so also He has granted the Son to have life in Himself."

 

Thus, in his human nature, YESHUA is superior to man and inferior to the Father. But in His divine nature, YESHUA has the same essence as His Father.

  • 1 Corinthians 11:3 "But I want you to understand that the head of every man is Christ, and the head of the woman is man, and the head of Christ is God."

  • John 14:28 "I am going to the Father, because the Father is greater than I."

  • John 10:30 "I and the Father are One"

 

In other words, YAHWEH the Father is the Supreme GOD of the universe above YESHUA his Son. And because the Father loves the Son who always does His will, He has subjected everything to the Son and made Him GOD divinely equal to Himself. Jesus reigns mightily and majestically alongside YAHWEH the Father.

  • John 8:29 "He who sent Me is with Me. He has not left Me alone, because I always do what pleases Him."

  • Hebrews 1:8-9 "But he said unto the Son: Thy throne, O GOD is everlasting; the scepter of thy kingdom is a scepter of righteousness, Thou lovest righteousness, and hate wickedness. Therefore O GOD , your God has anointed you with the oil of joy above your equals "

  • Hebrews. 1:2-4 "God in these latter days has spoken to us through the Son, whom he made heir of all things, by whom he also created the world, and who, being the reflection of his glory and the 'imprint of his person, and upholding all things with his powerful word, made the purification of sins and sat at the right hand of divine majesty in the very high places became so much superior to the angels that he inherited of a better name than theirs. "

To read a different and much deeper perspective on the association of the Father and the Son and the Holy Spirit, click the link: https://en.lesversetsbibliques.com/jesus-christ-est-il-dieu

For these reasons, one cannot speak of God the Father without the Son and vice versa. We have proof of this in the book of Isaiah. If you pay special attention to the use of pronouns, you will notice that YAHWEH never says WE when He speaks of Him and His Son, but He always speaks in the singular to indicate that The Lord and the Lord of Hosts is singular. They are ONE.

  • Isaiah 44:6 "Thus says the LORD, the King and Redeemer of Israel, the LORD of Hosts: “I am the first and I am the last, and there is no God but Me."

Jesus often began his teachings with "Truly, truly, I say to you," in so speaking he was expressing himself as his own authority which rested on his absolute dependence upon it. The Mosaic law required two or more witnesses to establish the truth, Jesus was not alone, He had the Father in Him. He testified that His word, His judgment and His promises are true, valid and trustworthy because they came from two witnesses: Him and the Father. 

  • 2 Corinthians 5:19 "For God was in Christ, reconciling the world to himself"

  • John 8:17-18 Even in your law it has been written that the testimony of two men is true. “I am He who testifies about Myself, and the Father who sent Me testifies about Me"

 

In his humanity, Jesus revealed that he is THE AMEN of YAHWEH: the epitome of absolute truth. When we fully believe YESHUA's words we are certifying that all of YAHWEH's declarations and promises are true. This means when Jesus said hell exists, but someone else preaches otherwise and you naively accept their teaching as true, you are unknowingly approving that God the Father is a liar.

  • Isaiah 45:23 "By Myself I have sworn; truth has gone out from My mouth, a word that will not be revoked: Every knee will bow before Me, every tongue will swear allegiance."

  • John 18:37 "Jesus answered, You say it, I am a king. I was born and I came into the world to bear witness to the truth."

 

The interest of praying in the name of YESHUA is not an incantation for material blessings, but it allows us to approach the throne of the Father in full identification with the Son, as if it is YESHUA Himself who made the request, and let His will and not ours be done, and so be it. And because YESHUA is THE AMEN, all prayers to YAHWEH must be said in the name of the Son.

  • 2 Corinthians 1: 20-21 For as many as are the promises of God, in Him they are yes; therefore also through Him is our Amen to the glory of God through us. Now He who establishes us with you in Christ and anointed us is God"

May the Holy Spirit guide you through the understanding of this message.

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